Où l’esthétique du Erard 1806 trouve son origine dans une quête romantique d’un son originel

par | Juin 8, 2022 | 0 commentaires

Novalis écrivait : « Le son ne semble être qu’un mouvement brisé, au sens où la couleur est de la lumière décomposée. » Que la musique se pense à travers un inconditionné inaccessible coïncide justement avec des nouveautés technologiques dans l’évolution des claviers. En partenariat avec l’association La Nouvelle Athènes Centre de pianos romantiques, Metaclassique reçoit et met en dialogue le pianiste Luca Montebugnoli sur un piano Erard de 1806 et le spécialiste de Novalis, Olivier Schefer. Novalis ajoutait : « Comme les sons de la harpe éolienne, les objets doivent se présenter en une fois, sans causalité – sans trahir leur instrument. »Le son ne semble être qu’un mouvement brisé, au sens où la couleur est de la lumière décomposée. »

Rendez-vous le 8 juin sur :http://metaclassique.com/

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