Collection de vidéos

 

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Nouvelle collection de vidéos

Une première dizaine de vidéos en HD, qui feront le bonheur de tous les passionnés de musique romantique et de claviers historiques. Concerts, masterclasses, conférences de musiciens-chercheurs : un contenu diversifié, qui offre de nouvelles clés d’écoute et d’interprétation, aussi bien aux amateurs du répertoire romantique, qu’aux spécialistes de cette période.
Une expérience enrichissante, permettant de contribuer au développement de La Nouvelle Athènes.  

Une Journée à l’Hôtel de Noailles autour du piano Silbermann 1749

L’esthétique pré-romantique entre résonances et cordes sympathiques

Ce projet est porté par la fine-fleur des claviéristes XVIIIe de La Nouvelle Athènes :

  • Aline Zylberajch,Aurélien Delage, Philippe Grisvard

  • …entourés de Johannes Pramsohler violon, Etienne Mangot gambetta all’inglese, Sebastijan Bereta traverso.

      sur la copie du piano Gottfried Silberman 1749 conservé au Germanisches Nationalmuseum de Nuremberg, réalisée par Kerstin Schwartz

      Le cadre exceptionnel du salon de la Duchesse de Noailles nous a permis de rappeler la mémoire du séjour de Jean-Chrétien Bach, le chanteur Tenducci et Mozart pendant l’été 1778.

      Toute une filiation autour de la musique germanique à Paris.

      Remerciements
      à l’hospitalité de Françoise Brissard notre hôtesse,
      à Kerstin Schwarz, factrice de la copie du Gottfried Silbermannaux voisins la Famille de Beaulaincourt et à Hiam El Khoury-Brissard.

      Pièces de Haydn, trio pré-romantique de Giordani, Quantz, CPE Bach, Lange, Sales, Schaffrath…

      L’invention du pianoforte Cristofori 1726

      Un clavecin à marteaux pour le piano et le forte

      L’invention du pianoforte avec l’Ensemble Teatro d’Arcadia :
      Edoardo Torbianelli piano et direction, Christina Doner soprano,
      Jan Thomer alto,
      Marc Hantaï flûte,
      Leonardo Borlotto viole de gambe,
      Sam Chapman théorbe

       

      Enregistré le 9 avril 2021 à la Salle Cortot
      Co-production Festival Baroque de Pontoise, sur le facsimilé d’un piano Cristofori 1726, réalisé par Kerstin Schwarz

      Pièces de Martino Bitti, Alessandro Scarlatti, Giovanni Bononcini, Paolo Benedetto Bellinzani, Giuseppe Sammartini, Giovanni Bononcini

      PREMIER ROMANTISME FRANÇAIS versus BEETHOVEN

      La renaissance de l’esthétique française autour du piano carré Erard 1806 de La Nouvelle Athènes

      Alors que Beethoven est le contemporain des premiers romantiques français – Hélène de Montgeroult, Louis Adam, Jadin…ou tout du moins des artistes européens actifs à Paris : Steibelt, Dussek.
      L’association française La Nouvelle Athènes à travers la restauration du piano carré Erard 1806, restauré par le Maître d’Art Christopher Clarke grâce à 155 donateurs, s’attache à valoriser le répertoire français aujourd’hui largement sous représenté, faute d’instruments disponibles.
      Ce piano carré Erard 1806 permet d’entrer dans l’esthétique des couleurs, du son continu qui fascinèrent justement Beethoven lorsqu’il reçut de Sebastien Erard en 1803 son piano en forme de clavecin. D’aucuns voient dans la Waldstein une intégration de certaines de ces esthétiques.

      Tom Beghin, directeur de recherche à l’Orpheus Instituut dévoile au travers d’un documentaire et un disque le cheminement de Beethoven face à son piano français Erard 1803.
      Tandis que Luca Montebugnoli autour du Erard 1806 nous fait entendre les couleurs françaises du Erard 1806 avec des pièces de Louis adam et Steibelt, tout comme Claire Lefilliâtre et Stéphane Fuget interprètent une romance du 1er Empire…

      Vous pourrez également retrouver les artistes qui inaugurèrent en février 2020 le piano Erard 1806 Eloy Orzaiz & Marta Ramirez dans Hélène de Montgeroult, Daria Fadeeva, Roldan Bernabé & Luca Montebugnoli dans Ferdinand Herold sur notre chaîne YouTube.

      Le Ranz des vaches de Louis Adam, L’Orage de Steibelt par Luca Montebugnoli,
      Romances d’Alvimare par Claire Lefilliâtre et Stéphane Fuget
      Arcal mai 2021

      BEETHOVEN VARIATIONS FESTIVAL juin 2021

      5 concerts filmés à la Salle Colonne, Paris 13e, piano Rosenberger 1825, collection L.Montebugnoli

      Le genre de la variation constitue le fil conducteur de ce festival afin de mettre en lumière une partie de la production de Beethoven plus rarement jouée, qui a eu cependant une grande importance dans l’évolution de son écriture. Nous souhaitons comparer et faire dialoguer les cycles autonomes de variations avec les formes de variations intégrées dans d’autres types de composition. Au cours de son activité, aux prises avec la variation, Beethoven expérimente une large palette d’effets, de caractères, de typologies d’écriture, de figurations, de relations structurelles et de développement motivique.
      Si par leur ampleur et leur variété les variations « Diabelli » sont considérées comme le point culminant et le plus largement représentatif de ce « laboratoire », en réalité les germes d’une expérimentation audacieuse et innovante se trouvent déjà dans les cycles de jeunesse moins connus, au sens d’une recherche de «transformation» du thème qui se démarque des traditions précédentes et construit de nouveaux ponts.
      Une bonne raison de faire revivre ces œuvres apparemment marginales, souvent capables d’éclairer les choix esthétiques du répertoire le plus fréquenté.
      Edoardo Torbianelli, membre du comité artistique de La Nouvelle Athènes

      1. Beethoven variations on folksongs, O.Pashchenko piano, Anna Besson flûte
      2. Beethoven : Une Eroica de salon, Ensemble Hexameron
      3. Beethoven : Andante Favori, op.109, Laura Granero
      4. Beethoven / Czerny op.246 Quatre mains L.Montebugnoli, B.D’Anfray
      5. Beethoven : Trio de l’Archiduc, sonate Waldstein, Trio Stimmung E.Levinas, C.Giovaninetti, R.Chrétien

      A la Recherche de l’esprit Romantique

      6 jeunes pianistes modernes – lauréats de concours internationaux, de la Fondation Royaumont…- sont partis à la recherche de l’esprit romantique avec pour guide le piano Streicher 1847 de La Nouvelle Athènes et l’écoute des enregistrements des derniers romantiques.

      Ces mini-concerts suivis de courts échanges reflètent leurs visions et leurs aspirations à poursuivre l’aventure.

      • Madoka Fukami, Arman Grigorian, Hyewon Ha, pianistes
      • Noémie Berz piano & Kevin Bourdat violoncelle : Duo Camille Claudel
      • Flore Merlin piano & Marine Fribourg mezzo-soprano,
      • Paul Drouet piano, Clémence Mériaux & Hugo Boulanger violons, Sophie Anselin alto, Caroline Sypniewski violoncelle

      Une attention particulière y est faite aux compositrices Fanny Hensel (Mendelssohn), Clara Schumann (Wieck) et Pauline Viardot (Garcia) qui y ont une place égale à Frédéric Chopin, Robert Schumann, Franz Liszt, Karl Loewe ou Edvard Grieg.

      Remerciements
      au coaching de Edoardo Torbianelli, Luca Montebugnoli
      du Early Recordings Group :
      Sebastian Bausch, Laura Granero, Artem Belogurov,
      Octavie Dostaler-Lalonde, Johannes Gebauer, Aldo Mata.

      Beethoven Variations Festival

      Edoardo Torbianelli, Luca Montebugnoli, Ensemble Lélio

      Alors que Beethoven est devenu une icône populaire presque standardisée, nous nous intéressons à l’artiste créateur, au musicien qui à chaque concert savait surprendre son auditoire par des pièces quasi improvisées et dont l’un des terrains de jeu de son génie fut la création de nombreuses variations.

      Nous écoutons les variations Wranitzky par Edoardo Torbianelli professeur à la Schola Cantorum Basiliensis, à l’Université des Arts de Berne, de la sonate à Thérèse par Luca Montebugnoli professeur au CRR de Paris et du Trio op.11 pour clarinette, violoncelle et piano sur le thème « Pria ch’io l’impegno » de l’opéra de Weigl , que l’Ensemble Lélio enrichit de l’air d’opéra et d’un air irlandais très à la mode au temps de Beethoven.

      Filmé au Salon Streicher, chez Véronique Burnod
      Piano original Rosenberger 1820, collection Luca Montegnoli
      Réalisation Elie Delpit, Co-production Bleu Danube & La Nouvelle Athènes

      Masterclasse Brahms, Trio op.8

      Kai Köpp, directeur de recherche Université des Arts, Berne
      Trio 1905 : Jérôme Bertier, Amarillys Billet, Gauthier Broutin

      Nous sommes aux prémices d’un mouvement de relecture du répertoire romantique dont la portée peut aller aussi loin que le mouvement baroque voici 40 ans.

      Dans cette masterclasse filmée aux Buttes Chaumont, sur le piano d’époque viennoise Streicher 1847 de l’association, Kai Köpp nous dévoile une méthode – croisant les sources écrites et enregistrées à la fin du XIXe siècle – pour sortir des stéréotypes modernes et retrouver la fluidité du tempo et de la ligne mélodique ; le sentiment d’une quasi improvisation qui émanent de ces enregistrements anciens.

      Filmé au Salon Streicher, chez Véronique Burnod
      Piano original Streicher 1847, collection La Nouvelle Athènes
      Réalisation Elie Delpit, Co-production Bleu Danube & La Nouvelle Athènes

      SCHUMANN, BRAHMS

      Davidsbündlertanze, Valses op.39
      Laura Granero, Sebastian Bausch

      L’utilisation des enregistrements des élèves de Clara et Brahms (comme Ilona Eibenschütz, Fanny Davies ou Adelina de Lara) avec ceux d’autres pianistes (comme, par exemple, Alfred Grünfeld, qui a été extrêmement apprécié dans son interprétation des valses viennoises) ainsi que les témoignages écrits sur leur enseignement et leur jeu nous permettrons, de nous rapprocher de ce qu’ils ont reconnu comme une belle interprétation de ces danses et peut-être de donner quelques pistes pour imaginer des réponses possibles à ces questions.

      Enregistré dans l’atelier de Christoph Kern,
      Staufen im Breisgau (Allemagne)
      Piano original Blüthner 1856, collection Christoph Kern
      Réalisation Elam Rotem

      Brahms, Sonate op.78 violon & Piano

      Johannes Gebauer violon, Sebastian Bausch piano,
      Musiciens chercheurs Université des Arts, Berne

      Ce qui a commencé comme une expérience pour répéter pendant le confinement s’est transformée en un enregistrement professionnel du premier mouvement de La sonate pour violon op. 78 de Brahms. Cette œuvre a été composée en même temps que le concerto pour violon en 1878 avec à l’esprit son ami et proche collaborateur, le violoniste Joseph Joachim. Joachim était particulièrement célèbre pour son style d’interprétation libre qui donnait au public une impression de spontanéité extrême et de grande intimité. Johannes Gebauer et Sebastian Bausch réinterrogent les sources sonores et didactiques pour y trouver les indications de leur relecture de ce répertoire.

      Enregistré à distance entre Berlin et Saint Galle
      Johannes Gebauer violon, Sebastian Bausch
      Piano original Bösendorfer 1908

      Beethoven Sonate op.28,
      Rouleau inédit de Carl Reinecke

      Sebastian Bausch, pianiste chercheur

      Le précieux enregistrement du rouleau de piano a permis de saisir uniquement le tempo et le rythme de l’interprétation de Reinecke, alors que la dynamique n’a pas pu être enregistrée. Pour donner au moins une impression de la façon dont le jeu de Reinecke aurait pu sonner, Sebastian Bausch propose une reconstitution de son interprétation aussi fidèlement que possible et d’ajouter les dynamiques manquantes de façon plausible, en se basant sur ses études des écrits de Reinecke sur le jeu au piano et sur les enregistrements historiques de pianistes comparables sur le plan stylistique.

      Enregistré dans l’atelier de Christoph Kern,
      Staufen im Breisgau (Allemagne)
      Piano original Blüthner 1856, collection Christoph Kern
      Réalisation Elam Rotem

      Camille Saint-Saens,
      Romance et Valse Langoureuse

      Octavie Dostaler-Lalonde violoncelle, Artem Belogurov piano

      Pour ce programme, nous disposons non seulement d’enregistrements de Saint-Saëns lui-même au piano, mais aussi de ses partenaires tels le violoncelliste néerlandais Joseph Hollman, le violoniste français Gabriel Willaume, le virtuose Pablo de Sarasate… Ces enregistrements ont souvent un charme particulier, une certaine candeur dans le jeu de ces derniers romantiques et en même temps, une verve et un élan sans contraintes, les musiciens semblant exprimer avec un naturel parfait et sans compromis le sens profond de chaque instant musical. Octavie Dostaler-Lalonde et Artem Belogurov se sont inspirés de l’étude de ses enregistrements pour proposer leur propre interprétation.

      Amsterdam – Octavie Dostaler-Lalonde violoncelle & Artem Belogurov piano
      Romance et Valse Langoureuse de Camille Saint-Saens
      Vidéo réalisée par Andrea Friggi à Amsterdam
      Dans le salon de Viola de Hoog & Marten Root, sur leur piano Blüthner

      Soiree romantique,
      Schumann, Popper, Servais

      Aldo Mata, violoncelle

      « A partir de l’enregistrement de l’accompagnement du Abendlied de Schumann réalisé par Georges Enesco, conservé sur un rouleau inédit, et accompagnée d’une voix off récitant les vers du lied, Aldo Mata interprète ce célèbre lied. Il s’est inspiré des témoignages d’Andreas Moser assistant de Joachim, et d’enregistrements de la violoniste Marie Soldat.

      Les Etudes de Popper, violoncelliste partenaire de Brahms et de Liszt, illustrent la conception d’Europe centrale du violoncelle romantique et son lien avec Chopin.

      Tout cela en opposition avec l’école franco-belge, incarnée au violoncelle par Adrien-François Servais, avec un fragment de son Souvenir de Spa qui ouvre tout un monde de portamento à travers ses doigtés expressifs. »

      Aldo Mata, violoncelle
      Georges Enesco piano enregistré 1926, Jeanne-Marie Lelièvre voix
      Filmé à Madrid – Salon de l’Escuela Superior de Canto
      Réalisateur Alexis Delgado

      Chopin – Franchomme, le chant du violoncelle

      Fernando Caida-Greco violoncelle, Edoardo Torbianelli
      piano Streicher 1847 au Salon musical de Croissy-sur-seine, juillet 2021

      Franchomme s’est certainement inspiré pour cette composition de son ami Frédéric Chopin, le plus célèbre représentant de cette forme musicale, et l’a écrite en lien avec l’idée vocale du mélodrame italien de l’époque.

      Nous ne disposons pas d’enregistrement direct de Franchomme, l’élaboration de cette interprétation s’est construite grâce à l’appropriation des sources écrites des cercles de Chopin et Franchomme, notamment des critiques de leurs concerts. Le duo s’est également attaché à trouver un jeu libre (flexibilité rythmique, d’intonation – portamento, vibrato), capable de réagir aux propositions du partenaire, rendant chaque concert unique, dans un sentiment de quasi-improvisation.

      Violoncelle C.A. Miremont 1880, Archet F.N. Voirin 1870, cordes en boyaux
      Piano original Streicher 1847, restauration Edwin Beunk, collection La Nouvelle Athènes
      Enregistré au salon romantique, Château Chanorier, Croissy-sur-seine, juillet 2021

      Frédéric Chopin (1810 – 1849)
      Polonaise op.21n°1 , Largo de la sonate op.65
      Robert Schumann (1810 – 1856)
      Stücke im Volkston op.102 n°3
      David Popper (1843 – 1913)
      Sérénade espagnole op.54 n.2 , Tarantelle op.33

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