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La rencontre entre Frédéric Chopin et le violoncelliste Auguste-Joseph Franchomme
Franchomme : Nocturnes op.14 n1 et n°3, Caprice sur un thème du Pirate de Bellini
Chopin Polonaise op.26 n°1, Nocturne op.48 n°2, Mazurka op.30 n°2
Chopin & Franchomme : Sonate pour violoncelle et piano op.65
Sur piano original Camille Pleyel 1839, collection Edwin Beunk
Enregistré en live au Festival de Royaumont, le 1er octobre 2017 par Alban Moraud.
Edition : Label Paraty
Le Chant du violoncelle : Chopin – Franchomme
15,00 €
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Le programme de ce concert propose de faire dialoguer les voix de Chopin et de Franchomme, imitateurs géniaux du bel canto dans leurs compositions comme dans leur art de virtuoses.
Les Nocturnes op. 14 du violoncelliste Franchomme doivent autant à Chopin qu’au modèle vocal commun tandis que la Sonate op. 65 de Chopin, œuvre ultime est redevable de la contribution de Franchomme dans l’écriture de la partie de violoncelle. Moscheles la comparait à « une forêt sauvage, où un rayon de soleil n’apparaît que par intermittence ».
Les violoncellistes, effrayés peut-être par le fameux rubato de Chopin, si étranger à l’esprit des instrumentistes à cordes, négligent trop souvent cette Sonate ou se contentent d’une interprétation Schumannienne ou Brahmsienne,inadéquate.
Edoardo Torbianelli – pianiste raffiné cultivant rubato et ornementation – et Fernando Caida Greco – violoncelliste à larecherche de la pureté du Bel Canto – contribuent à nous faire pénétrer dans le monde si singulier de Chopin, peut-être un autre monde…
Critique Chopin Franchomme – Classica – Fabienne Bouvet – Avril 2021
« Loin des versions lyriques données sur instruments modernes, l’esprit de salon domine ici… […] sa façon de privilégier non pas la mélodie mais l’harmonie, soulignant toute l’inventivité du compositeur – Nocture op.48 n°2 de Chopin funambule et délicat, Nocturne op.14 n°2 de Franchomme, d’une sensibilité à pleure. Que dire, enfin, de ce merveilleux rubato dont le pianiste irrigue sans cesse son discours, sophistiqué mais naturel ? A-t-on déjà entendu pareille scansion chez Chopin ? »